vendredi 18 mai 2007

Cinéma et peinture...

Au crépuscule de notre troisième journée, une évidence s'impose: la qualité de la sélection. Chacun d'entre nous est plus ou moins sensible à titre personnel aux histoires, aux univers, aux personnages qui habitent l'écran, mais nous sommes tous convaincus de l'engagement de chacun des auteurs au service d'une cause, dont aucun d'entre nous ne contestera la justesse: l'amour du cinéma.

J'ai conscience du lyrisme, mais c'est un sentiment très partagé... Comment ne pas être impressionné par la place de la mort et du deuil dans un film titré Les chansons d'amour, comment ne pas être sensible à la "revisitation" de l'oeuvre d'Edward Hooper (cf. quelques réferences pour mémoire) dans l'univers implacable de Zviaguintsev,


comment ne pas être impressionné par l'impact de la synthèse historique de Barbet Shroeder (ci-dessous) dans L'avocat de la terreur... Comment de pas être interpellé par le parti pris provocant de Kadri Kousaar... bref des films, des récits, des tranches de vie autour desquelles les discussions s'improvisent... à l'image de celle à ma gauche et à votre droite entre Michel Picolli et Pedro Almodovar!

Pour ceux qui souhaiteraient un complément d'information sur le Prix de l'Education Nationale cliquez sur les images ci-dessous